À propos de moi
Installée à Vermont.
À l’heure des îles.
Je supporte les hivers longs et sombres du Vermont en faisant deux choses: 1) j’utilise souvent du pani, l’huile de coco marquisienne fait à la main et richement parfumée, et 2) je me fais un devoir de sortir dehors pour m’amuser dans la neige et sur la glace. Le santal et gardenia tahitien du pani me transporte dans mon autre demeure. Les arbres, l’air pur et le sport nourrissent mon corps et mon âme. C’est un combinaison dynamique.
Mon travail est également divers. J’ai été formée en anthropologie et en archéologie : j’ai une licence en lettres en anthropologie et archéologie de l’Université de Harvard, un master en sciences sociales de l’Université de Chicago, et un doctorat en anthropologie de l’Université de McGill. Mais entre mes études j’ai travaillé comme archéologue, historienne du paysage culturel, et conservatrice adjointe de musée. J’étais enseignante vacataire à l’Université de Vermont et à Saint Michael’s College lorsque j’ai découvert l’écriture collaborative en 2018. Je suis très reconnaissante d’avoir la chance de pouvoir continuer à publier mes recherches sur les Marquises et également d’écrire pour moi-même et d’autres.
Ma vie professionnelle a deux faces…
Dans mon rôle d’écrivaine et chercheuse, je collabore avec d’autres à la rédaction des projets de livres et l’écriture des livres sur la culture américaine, l’économie, la psychologie sociale, et d’autres sujets de sciences sociales. J’ai travaillé sur des livres sur les effets de la transparence sur le lieu de travail moderne; le nouveau domaine des neuro-arts; la science des données; l’économie du partage; l’analyse des aptitudes; et le pouvoir des illusions collectives. J’ai également révisé plusieurs livres, dont deux sur l’archéologie, et je mène des recherches sur les questions sociales pour le groupe de réflexion, Populace.
En tant qu’anthropologue j’ai étudié et écrit pendant des décennies sur les relations entre les gens, leur culture et leur environnement. Depuis 2001 je suis spécialiste des Îles Marquises de Polynésie Française, mais mon travail professionnel en archéologie et histoire du paysage s’est basé ailleurs. J’ai publié sur divers sujets, par exemple : la souveraineté et ressources; la peur des autochtones et leurs liens avec la terre; la langue marquisienne; le tapa (tissu d’écorce traditionnel); l’appropriation culturelle; le fruit à pain; le patrimoine critique et vivant; l’utilisation autochtone des ressources; et la durabilité.